Récit du grand Arinaeth, bâtisseur de la grande cité des Hauts-Pins

Arinaeth Des-Hauts-Pins dit Le Pensif

I

arinaeth_01arinaeth 01Tout commença quand Arinaeth Le Pensif décida de partir des villes déjà établies par les elfes pour aller s’établir dans une région sauvage car depuis qu’il était jeune, il rêvait de cela. Il parti avec sa famille et ses amis dans les régions désertes de Solmyr et de Tamäneh. C’est à l’age de 357 ans qu’il quitta Lotanh. Par la suite, il eu des années difficiles car, se promenant d’un bois a l’autre, il ne découvrit guère de forêts désertes, habitées par personne. Des fois, il arrivait face à face à des créatures tels que des trolls des forêts et des orques habitant près des forêts dans des marécages puants. Il erra de terre en terre et de forêt en forêt pour finalement arriver dans les bois de Tamäneh, il tomba amoureux de la région. Il était protégé par de très grands pins et des mélèzes. Il était tapi d’affluents tel que des ruisseaux et des chutes à en couper le souffle. Il décida d’arrêter sa course et de bâtir ce à quoi il rêvait depuis toujours, une cité elfique qui pourrait devenir prospère pour des générations d’elfes futures. Il fit construire des huttes et des sanctuaires pour les prêtres elfes et une bibliothèque pour ceux qui aimaient lire et écrire. Il bâtit des lits de guérison pour les blessés et les souffrants et fit construire une petite statue à son effigie. C’est là que sa femme mit au monde Ebayl, leur fils aîné qui à son tour se maria avec Solmia à l’age de 234 ans et mit au monde deux fils et deux filles. Les futurs petits dirigeants de cette cité les nomma respectivement Holvil’lian, Eremon, An’thael et Laelum. Arinaeth resta ainsi pendant quelques centaines d’années à étudier les paroles des plantes et il se mit tranquillement à parler et à comprendre ce que ressentaient les pins et toutes les autres plantes de cette région. Les hauts-pinois, se mirent à explorer la forêt et à écrire des livres sur les variétés de plantes vivantes dans ce boisé. Il fit créer des potions de guérison et créa ainsi un livre d’herboristerie et de médecine des plantes. Ce livre fut écrit par la main du premier herboriste de leur tribu.

 II

Ils vivaient des jours prospères et heureux dans leur nouvelle cité, jusqu’au jour où, pendant la nuit, des orques vinrent les déranger durant leur sommeil. Pillages et carnage résumait la situation. Plusieurs y laissèrent leur peau et d’autres blessés pendant les combats se firent guérir. Maintenant, ils vivaient de craintes et le seigneur Arinaeth fit instaurer des patrouilles composées de leurs meilleurs elfes. Il créa alors la première garde de la cité des hauts pins. Il éliminait alors la menace tranquillement mais lorsque Arinaeth prit le goût de faire des patrouilles, il eu la mal chance de tomber sur une grande armée qui avait été détacher tout droit de leur campement. Les orques les aperçurent et se mirent à courir en leur direction, mais les elfes plus rapide et plus agile que ces bêtes réussirent à s’éloigner d’eux et se réfugièrent près d’un cour d’eau. Les orques dépêchèrent des gobelins comme éclaireurs et réussirent à les suivre jusqu’au cour d’eau. La grande armée de plusieurs dizaines de têtes vertes se fit alors guider vers ce court d’eau pas les gobelins. Les elfes n’étaient que cinq contre les quelque cinquante ennemis se dressant devant eux. Arinaeth pensais que ses jours étaient comptés. Avant que le chef de la bande d’orque lance l’attaque, Arinaeth eu le temps de dire quelque mots elfique samariaritim, fémériaritim, ritoriarim, clalialimitim, féliminim. Qui voulaient dire : « protégez nous tous esprit de la forêt. » Les orques se précipitèrent ensuite à vive allure vers les cinq elfes. Tous sans exception avaient la rage dans leurs yeux et quand vint le temps de mettre le pied dans l’eau, il se fit tous projeter contre le sol. Les elfes restèrent stupéfait devant la tournure des évènements. Quelque chose créait une barrière invisible devant eu. Arinaeth pensa que l’esprit de la forêt l’avait entendu mais en fin de contre c’était tout autre chose. Il réussirent à tuer une vingtaine d’orques avant qu’une deuxième attaque ne soit lancée. Les orques se relevèrent, étourdit, et se remirent en question, mais vue leur stupidité, le successeur du général, ordonna la charge de nouveau et bien sûr, ils rebondirent sur le dos et à chaque tentative d’attaque, ils rebondirent sur le dos et les elfes réussissaient à en tuer quelques uns à la fois. Bientôt, il en restait très peu. Ils se regardèrent enfin et virent qu’ils étaient inférieurs en nombre. Leur leader décida donc de sonner la retraite.

III

Longtemps, ils cherchèrent ce qu’était la source de tout ceci mais sans succès jusqu’au jour où, un enfant elfe jouant sur la rive de cette rivière découvrit une pierre bizarre. Elle était transparente, mais elle avait une lueur bleutée qui s’en échappait. Elle scintillait comme la lune. Le petit emporta cette pierre au grand seigneur Arinaeth et constata qu’elle était magique. Il demanda au petit enfant de le conduire à l’endroit précis où il l’avait trouvé. Il reconnue le lieu où il avait combattu les cinquante orques quelques années auparavant. Il fit ratisser les entourages de la découverte et enfin il trouva quelque chose d’intéressant. Une faible lueur sortait de sous une chute. Des elfes plongèrent dans les profondeurs et ce qu’ils découvrirent était merveilleux. Une pierre semblable a celle que le petit avait recueillit, mais elle avait la taille d’une maison humaine. Elle était si grosse qu’elle pouvait protéger une cité complète sans aucun problème. Alors Arinaeth asseilla de l’extirper du lit de la rivière mais en vain. Il décida alors de faire appel à la nature. Il fit venir les plus grands sages de sa tribu et se mit à parler aux grands pins des entourages. Les arbres se mirent à grandir et grandir de plus en plus. Des racines sortirent du sol et s’emparèrent de la pierre pour la souleva vers le ciel. Les branches se tortillaient et se joignaient de bouts en bouts et ils formèrent un liage de branche assez fort pour supporter la roche à quelque cents bâtons de hauteur. Maintenant, la roche était arrachée de l’emprise de l’eau. Arinaeth s’agenouilla devant un très gros arbre et se mit à incanter. Le gros pin se sectionna en deux et forma des escaliers avec des branches et des racines. Une grande branche ressortit de l’arbre et se dirigea vers la plateforme. Un escalier bien taillé se forma à la suite et très vite, Arinaeth emprunta cet escalier pour se dirigea devant la pierre. D’un souffle, il se mit à incanter plus fort. Tous les arbres au alentour se mirent à pousser et à se déchirer en deux. Des piliers de bois vivant s’élevèrent et bientôt, des maisons apparurent dans le ciel, de grandes huttes si bien sculptées et si bien formées qu’on aurait dit les dieux, qui de leurs mains toutes puissantes, façonnaient les arbres à la manière du potier qui pétrit la terre pour en faire de somptueux vases. Ce jour là, une grande cité apparue dans le ciel. La cité des Hauts Pins. Arinaeth venait de bâtir de petits mots une grande merveille. Cela avait prit des heures de chambardement de racine et d’arbre mais maintenant, s’élevant à cents bâtons dans les cieux, une ville elfe était née pour ajouter à la beauté du paysage. Arinaeth fit recouvrir de marbre toutes les marches des escaliers et fit sculpter une grande statue à son effigie qu’il installa dans un amoncellement de racine, au beau milieu de la grande plateforme principale. Des petits ponts faits de branches et de lianes faisaient le raccord entre les arbres voisins et au fur et à mesure que les grandes familles des hauts pins grandissaient, leur cité prenait de l’expansion. Bientôt, des statues des disparus au cour des années passée dans la foret fait de marbre jonchait toutes les petites plateforme de repos dont disposait l’escalier d’ascension principale.

IV

Des belles années s’écoulèrent à l’intérieur de cette cité bien protégée par le grand rocher et protéger en hauteur. Grâce au pouvoir de la pierre, aucun orques ou personnages ayant un coeur impur, tant voleurs qu’assassins, ne pouvaient pénétrer en ces lieux. Des patrouilles se firent envoyé dans les bois. Des elfes étant capable de se faufiler dans les endroits les plus reculés de la forêt. Il eu vent de la grande guerre noir et des elfes qui combattait poru un seigneur nommé Razel, un grand elfe qui vint demander de l’aide à Arinaeth qui fit envoyer un groupe d’elfe qui contant non moins de cinq cents oreilles pointues. Il prit une décision sage mais qui lui apporta la mort. Il décida de partir avec eux pour aider ce grand et valeureux elfe. Des orques et des humains étaient tous en mutuelle dispute et les elfes étaient prit entre ses deux races. L’un revendiquait des bouts de terre les autres désirait la paix et tous se battaient pour aucune raison valable. Mais un matin ou ils dormaient dans leur campement, Arinaeth fut tué par une flèche orque. Droit dans le coeur. Il nu pas même le temps de se réveiller. Il s’éteignit quatre-vingt-quinze avant la fin de la guerre noir, à l’age de1345 ans, 1345 années de grandes réjouissances et de bonheurs. C’est alors que prit fin le temps d’Arinaeth Le Pensif mais une nouvelle ère commença celle d’Ebayl fils d’Arinaeth

Ebayl des-Hauts-Pins dit le Faucon d’Argent

V

Ebayl grandit avec le courage de son père mais ne pensait pas comme son père il était plutôt vif et réagissait rapidement, c’est pourquoi le monde le surnoma Ébayl faucon d’argent. Il était maintenant rendu à quelque cinq cents ans et était assez mûre pour prendre le contrôle de la cité. Il fit préparer des funérailles de grande importance en l’honneur de son père mort au combat et décédé à la guerre. Ensuite pour venger son père de la mort traître de son adversaire. Il détacha alors plusieurs pelotons d’elfe dans les forêts des environs et enjoignit aux guérisseurs de se rendre en la terre de fertilité nommé Solmyr pour aller aider aux blessés de guerre. Il nomma ses fils Holvil’lian et Eremon généraux des arinaeth_02deux pelotons de cents têtes et tous les deux réussirent à faire de grande chose. Razel signa alors un traité de paix avec la race des Haut-pinois et lui promit la terre entière de Solmyr en échange de son aide, de ses armées, de ses soins et un accès à la bibliothèque de la cité des hauts pins pour que ses guérisseurs apprennent le rédiment de l’herboristerie de la région et des soins des plantes. Razel lui offrit aussi, en gage de leur allance, une coupe transparente et lui avoua qu’elle était magique mais ne savais pas ce qu’elle pouvoir elle recelait car ses prêtres n’étaient pas assez puissant pour découvrir toute l’étendu de son pouvoir. Ebayl accepta avec quelque hésitation, mais puisque Razel était un elfe de parole et, aux dires de tous, très bon, il accepta l’alliance et devint un allier puissant poru Razel pendant la guerre noire. arinaeth 02Tout le long de la guerre, les soldats, les prêtres et les mages d’Ebayl se démarquèrent. En particulier douze d’entre eux dont quatre soldats, quatre prêtres et quatres mages. Leur nom étaient Morok, Somok, Altok, Roltok pour les quatres soldats. Les quatre mages eux se nommaient Lomos, Gymros, Eovos et Saomos. Quant aux prêtres, Talem, Osem, Reylem et Siem étaient leurs noms. Ils se firent nommer très vite les douze corbeaux d’Ébayl et en ajoutant les fils et les filles d’Ébay, le compte se portait à seize. Les exploits de ses seize personnes furent racontés dans tous les clans, que se soit humains, nains, orques ou elfes. Tous connaissaient les seize corbeaux d’Ébayl. Le temps passa et le sang souillait de plus en plus les terres, Ébayl commença à se fatiguer de guerroyer et eu le goût de retourner dans sa cité où il n’avait pas mit le pied depuis au moins vingt ans. Il décida alors de donner congé à quelque un de ses soldats, dont les douze corbeaux, afin qu’ils puissent aller rejoindre leur famille. Ébayl parti donc des terres où régnaient les bruits et le tumulte de la guerre pour se diriger à sa cité. Il retrouva sa femme et ses filles et c’est à cet instant précis qu’un cinquième membre de la grande famille royale se mit en route. Son père resta la jusqu’à la naissance de son fils, soixante-cinq année avant la fin de la grande guerre noir et lui donna le nom d’Arinadel Des-Hauts-Pins. C’est alors qu’Arinadel commença sa vie, durant la grande guerre noir. Il étudia dans les bibliothèques de la cité et étudia avec les sages et les prêtres. Il se fit apprendre l’herboristerie et le maniement des armes, dont l’arc et l’épée, par les meilleurs qui restaient pour protéger la cité contre d’éventuelles représailles des assaillant des autres races. Ebayl repartit pour le champ de bataille deux années plus tard. Avec le temps qui passait, des nouvelles d’Ébayl venaient assidûment aux oreilles de son fils. Jour après jour de nouvelles aventures et de nouvelles percées fait par les douzes corbeaux. C’est ainsi que la guerre s’échelonna encore pendant une bonne soixantaine d’années sans qu’Ébayl ne revu sa famille.

VI

La guerre prit alors fin et Ébayl hérita des terres de Solmyr comme l’avait promit Razel. Il lui fit construire une nouvelle cité sur le sol et nomma ses fils gouverneur de cette cité. Ebayl retourna en Hauts pins et y resta pendant dix années sans avoir de nouvelles des régions prospères de Solmyr ni aucune nouvelle de Razel, auprès de qui il avait combattu pendant de si longues années. Des bruits courraient qu’il se serait fait capturer vivant par des elfes noirs. Des recherches furent entreprises mais sans aucun succès. Ebayl décida donc de se diriger en Solmyr pour poursuivre les recherches. Il partit dont à l’an onze après la guerre vers les plaine de Solmyr. Il se fit alors accueillir comme un roi, dans la demeure de son fils. Des grandes festivités eurent lieu et la fête dura toute la nuit. Soudain, dans la nuit, un cor noir se fit entendre, un cor inconnu aux oreilles des elfes. Aucun n’avait jamais entendu ce bruit au par avant. Quand dans la nuit, Razel le grand apparut, il était noir et corrompu, il captura le roi, les douze corbeaux d’Ébayl, ses fils et ses filles et les fit amené en un endroit inconnu de tous. Il recueillit une larme de chacun et les enfermas dans l’urne que Razel avait donnée au roi pendant leur alliance. Il recueillit le sang d’Ébayl et incanta un sort pour garder son âme prisonnière dans le vase. Arinadel n’entendit plus jamais parler de son père ni de ses frères et de ses sœurs. Pas même des douze héros de la grande guerre noire. Plus de nouvelles ne parvinrent à ses oreilles. Ils avaient disparus.

Par Leminiat Des-Hauts-pins

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